Dans votre dernier épisode de « La pop fait le taf », Marie Donzel explore le rapport que les entreprises entretiennent avec les militants et notamment la méfiance des organisations envers ces citoyens engagés, animés par la défense d’une cause politique ou sociétale.
Comment expliquer cette prudence ? Et surtout, si ces voix n’étaient pas un risque, mais un puissant levier de transformation ? Pour illustrer ses propos, place au film britannique réalisé par Nigel Cole en 2010 : « We want sex equality ». C’est parti !
